Une société se juge à l’état de ses prisons

Albert Camus

La prison doit demeurer l’ultime recours 

Robert Badinter

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Illustrations réalisées par Cherif N’Diaye voir la galerie

Editorial

Son logo noir, rouge et bleu, une grille, une arche (?), accompagné de son slogan « une fédération généraliste pour agir et réfléchir sur notre système pénal et pénitentiaire » dit bien que la FARAPEJ est La Fédération des associations qui agissent et réfléchissent au concept de « chaîne pénale », de la poursuite des infractions constatées à l’application et à la sortie de la prison. 

Dès le constat des infractions ? En phase avec l’actualité, réfléchissons donc à la détention provisoire – qui inflige une souffrance indéniable sans être une peine – dans son rapport à la liberté individuelle de la personne innocente ou présumée innocente, protégée par les droits de la défense ; interrogeons-nous sur la notion morale d’innocence, probablement difficile à transposer en droit ; questionnons ce que l’innocence de l’inculpé ajoute, ou non, à la dureté de la détention provisoire. 

Le cœur dit : une seule victime est de trop. La raison répond : la détention préventive est une institution sociale dont il convient de mesurer le mal.

Irène CARBONNIER

Présidente de la FARAPEJ

Les chiffres de la détention au 1er octobre 2025

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