Fédération des Associations Réflexion-Action, Prison et Justice

Envoi de colis aux personnes détenues : des adaptations au contexte sanitaire

Comme chaque année, les personnes détenus ont la possibilité de recevoir des colis à l’occasion des fêtes de fin d’année. En raison de la situation sanitaires, des adaptations ont été apportées notamment sur la durée de la période d’envoi. Ainsi, au lieu des 5 semaines habituelles, la remise des colis et l’envoi des subsides pourront avoir lieu du lundi 7 décembre 2020 au dimanche 31 janvier 2021 inclus .

Les principales adaptations

  • la participation des partenaires associatifs ou des aumôneries a été restreinte puisqu’aucun colis ne pourra être confectionné sur le domaine pénitentiaire. Les structures partenaires devront donc préparer les colis en amont de leur arrivée à l’établissement en fonction des modalités convenues avec le chef d’établissement pour leur dépôt. Aucun intervenant extérieur ne sera par ailleurs autorisé à remettre des colis directement aux personnes détenues ;
  • la remise du colis sera organisée en un seul paquet d’une contenance maximale de 5kg, remis par un partenaire extérieur ou dans le cadre d’un parloir famille ;
  • la durée de stockage du colis sera de 24h à titre de précaution sanitaire avant remise à la personne détenue ;
  • les moments récréatifs habituellement mis en place dans certains établissements pénitentiaires, comme les rencontres enfants parents, sont impérativement suspendus.

Ces informations ont été transmises par la Directions de l’administration pénitentiaire à l’ensemble des partenaires associatifs.

Vous trouverez ci-dessous en téléchargement, plusieurs documents relatifs à ces mesures.

Documents à télécharger

  Note - dispositifs de fin d’année 2020   Dispositifs de fin d’annee - familles   Dispositifs de fin d’annee - personnes détenues   Affiche - colis 2020

Le projet RESCALED


En savoir plus

Agenda de la Fédération

Consulter l'agenda

Actualités récentes

image par defaut

Assemblée générale FARAPEJ 2023


Détention : Et si nous changions de modèle ?